Sciences Po, Panthéon-Sorbonne, l’Ecole normale supérieure… Plusieurs campus universitaires sont bloqués par des étudiants qui se disent insatisfaits des résultats du premier tour de l’élection présidentielle. Ils fustigent l’absence de thèmes portés par la gauche, à l’instar de l’écologie, la justice sociale et l’égalité, ainsi que la montée de l’extrême droite en France. Jeudi 14 avril, certains d’entre eux ont vandalisé l’université de la Sorbonne, à Paris, et s’en sont pris aux forces de l’ordre, détaillent Le Huffington Post et Le Figaro. « La révolution est un devoir », « Sorbonne occupée », ou encore, « Ni Le Pen ni Macron », ont-ils notamment scandé.
Depuis mardi 12 avril, des étudiants qui se disent « antifascistes » font entendre leur colère et leurs revendications. Et la mobilisation s’est intensifiée jeudi matin, à la Sorbonne, où des dégradations importantes ont eu lieu dans les salles de classe, ainsi que sur le bâtiment classé monument historique, comme on peut le voir dans des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux.
Pourquoi ne dit-on pas que ce sont des casseurs d’extrême gauche qui n’ont pas rien à voir avec la démocratie.
Dans ce pays la droite c’est le mal et on peut tout pardonner à la gauche. Il serait temps de remettre l’église au milieu du village !