«Toi qui défends des valeurs de justice sociale, pourquoi avoir choisi Abyssal production qui ne semble même pas se préoccuper de rémunérer décemment les travailleur.euses de la culture ?» a-t-elle ainsi posté avant de pointer du doigt une longue liste de mécontentements avec en tête, la rémunération. «Est-ce vraiment cohérent ? 150€ pour 5 jours de travail (répétitions, essayage et tournage en extérieur)», a commencé l’artiste.
Mais, les griefs ne s’arrêtent pas là. « Contrats, conditions et charges de travail révélées après le résultat du casting. Mail de planning reçu la nuit ou en dernière minute. Mépris et manque de professionnalisme de la part de l’organisation et des chorégraphes pour les danseur.euses. Sans parler des gaufres en guise de catering…» a-t-elle poursuivi.
«Toi qui défends des valeurs de justice sociale, pourquoi avoir choisi Abyssal production qui ne semble même pas se préoccuper de rémunérer décemment les travailleur.euses de la culture ?» a-t-elle ainsi posté avant de pointer du doigt une longue liste de mécontentements.
Et elle n’est visiblement pas la seule à ne pas avoir apprécié ce tournage. Disponibilité, amplitude horaire, froid… le témoignage d’une figurante, défrayée 60 euros par jour comme le précise RTBF, dépeint aussi des conditions difficiles. «On devait être là à partir de 6h du matin et, globalement, la journée se terminait vers 17h. Et ça, deux jours de suite. Le souci, c’est quand on se rend compte de ce que ça demande en termes de temps, de disponibilité, d’énergie, et là, en l’occurrence, de condition physique, puisque le tournage s’est déroulé au mois de janvier et qu’il faisait à peu près 1°C mais ressenti -2°C, sachant qu’on ne bougeait pas. C’était extrêmement difficile» a-t-elle partagé.