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Le forcené, interpellé après 36 heures de traque, était dans une “logique suicidaire”, selon les gendarmes. L’homme a plusieurs fois mis le canon de son arme “sous son menton”, selon le patron du GIGN.
Le forcené, interpellé après 36 heures de traque, était dans une “logique suicidaire”, selon les gendarmes. L’homme a plusieurs fois mis le canon de son arme “sous son menton”, selon le patron du GIGN.
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